Mercato : l’homme qui peut faire venir Simeone au PSG

Les dirigeants du PSG envisagent de confier le rôle de directeur sportif à Andrea Berta. A vrai dire, la venue du dirigeant de l’Atletico Madrid serait une bonne nouvelle, en vue du mercato estival, mais aussi de la venue éventuelle de Diego Simeone en 2018.

Dans les colonnes de L’Equipe, on apprend qu’Andrea Berta a déjà « sensibilisé certains de ses collaborateurs » à propos d’un « éventuel départ » au Paris Saint-Germain. S’il n’est pas insensible à la perspective de poser ses valises dans la capitale française cet été, l’Italien n’est pas près à signer les yeux fermés. Pour lui, il est indispensable d’avoir « des garanties sur son champ d’action au PSG ».

Andrea Berta tient « à maîtriser la politique sportive » sans avoir quelqu’un qui vient sans cesse le plomber. En attendant de savoir s’il sera ou non l’heureux élu, force est de constater que la signature de ce dernier donnerait plus de relief à la campagne de recrutement à venir du PSG. Andrea Berta a un carnet d’adresses bien plus rempli que Patrick Kluivert qui n’a pas brillé, en matière de recrutement, pendant le dernier mercato.

Berta, l’atout phare pour avoir Simeone ?

En prime, notez que le dirigeant italien a des bonnes relations avec Diego Simeone. S’il avait les mains libres pour mettre en place une politique sportive remodelée au PSG, alors Andrea Berta pourrait établir un plan d’action au sujet « d’El Cholo ». En résumé, lui et les dirigeants franciliens attendraient sagement la fin du contrat de l’Argentin, qui expirera le 30 juin 2018, avant d’entrer en piste pour le recruter sans débourser un seul euro.

En attendant, le coach Unai Emery honorerait les douze derniers mois de son engagement au Parc et ne bénéficierait donc pas d’une année de rab en option. L’histoire ne dit pas si Diego Simeone accepterait de relever le défi au Paris Saint-Germain. Dans le passé, « El Cholo » avait souvent fait part de son intention de diriger un jour l’équipe de l’Inter Milan. En prime, l’Argentin rêvait aussi de prendre les rênes de l’Albiceleste à l’occasion, par exemple, d’une Coupe du monde.